jeudi 28 octobre 2010

La fin des vendanges

mercredi 7 juillet 2010

dimanche 30 mai 2010

Orties ARTE 7 Le Vrai problème c'est la bêtise et l'ignorance des hommes....

http://videos.arte.tv/fr/videos/secrets_de_plantes-3231000.html
L'ortie une urticacée, Le Vrai problème c'est la bêtise et l'ignorance des hommes....
Regardez cette emission sur ARte 7.

Ortie, Presle, Cousoude, Fougère autant de "mauvaises herbes" qui en purin peuvent apporter des réponses.... Mais attention il n'y a pas d'autorisation de mise en marché....

mercredi 5 mai 2010

Terra VItis de Ingrid Proust Ligerienne de Presse

La fédération Terra Vitis regroupe près de 400 vignerons engagés sur un référentiel national de viticulture durable. Le mouvement bénéficie d’un léger regain d’adhérents et d’une notoriété croissante, notamment à l’export.
“Quand passion s’accorde avec raison”. Cette maxime, le mouvement de viticulture durable Terra Vitis et la marque éponyme la revendiquent depuis 2002, date de la création de sa fédération nationale. Née dans le Beaujolais, Terra Vitis a essaimé dans le Languedoc-Roussillon, l’Aquitaine, le Val de Loire. La fédération compte actuellement près de 400 adhérents, 385 en 2009, tous engagés dans le respect d’un référentiel national technique : lutte raisonnée contre les ravageurs après comptage, analyse des sols avant fertilisation, enherbement des rangs et bordures de vignes, choix des molécules les plus respectueuses de l’environnement, gestion des effluents etc. “Ce référentiel national est adapté au niveau local par les associations locales membres de Terra Vitis. Certains cahiers des charges vont encore plus loin en terme de restrictions de traitements contre l’oïdium ou le mildiou par exemple, explique Didier Vazel, président national de Terra Vitis et vigneron en Anjou. Le référentiel commun est revu tous les ans sur les matières actives et les pratiques.”
Selon Didier Vazel, Terra Vitis est de mieux en mieux connue à l’export, notamment sur les marchés où les consommateurs sont plus sensibles à l’environnement comme l’Europe du Nord, le Japon ou l’Afrique du sud. (© D.R.)

Les adhérents de Terra Vitis ont également intégré dans leur cahier des charges la gestion des ressources (eau, air, sol, énergie) et la préservation de la biodiversité. Objectifs : avoir un référentiel “novateur et fédérateur” et que “les vignerons se réapproprient la démarche Terra Vitis”. Le mouvement a perdu un grand nombre d’adhérents ces dernières années. En 2003, il en revendiquait 907. En 2008, 361 étaient enregistrés. En 2009 la tendance s’est redressée pour atteindre 385 adhérents. “L’Agriculture raisonnée manquait de lisibilité. Certains viticulteurs sont passés directement en bio, souligne Didier Vazel. Mais aujourd’hui nous retrouvons des adhérents. La certification Agriculture raisonnée est mieux reconnue par la ministère et nous sommes en avance dans la perspective de la certification Haute Valeur Environnementale des exploitations. Terra Vitis est de mieux en mieux connue à l’export, notamment sur les marchés où les consommateurs sont plus sensibles à l’environnement comme l’Europe du Nord, le Japon ou l’Afrique du sud. Là-bas la viticulture durable a été développée dans le cadre du Biodiversity and Wine Initiative. Les Chinois commencent aussi à s’y intéresser. J’ai reçu récemment une importatrice chinoise.”


Les adhérents Terra Vitis sont soumis à des contrôles internes par des techniciens des chambres d’agriculture et à des contrôles externes menés par des organismes certificateurs indépendants. En Val de Loire, 40 à 50% des vignerons engagés dans le mouvement sont contrôlés chaque année et s’acquittent d’une cotisation de 600 euros pour un suivi personnalisé.

mardi 27 avril 2010

Le printemps.


Les feuilles sortent les bourgeons explosent... la vie reprend.... quelle merveille...Une superbe photos de notre fille....

samedi 24 avril 2010

Les fraudes enquêtent


Depuis le 2 février nous voulons imprimer des étiquettes pour notre Pet' Nat. Pétillant Naturel pour les intimes. Il est vrai que ce n’est pas un Vin d’AOC ni IGP ( ex Vin de Pays) c’est un vin de table. Nous avons eu trois fois la visite des agents de la DGCCRF (bref des fraudes) Ils ont pris des échantillons des copies de tous les documents de la cave…. Bref un vrai travail de bénédictins.

Pour le moment je n’ai pas reçu de feu vert ca fait 3 mois et le client s’impatiente. Car c’est un vin qui ne se vend que lorsqu’il fait chaud. Donc en été. Si les étiquettes ne sont pas imprimées rapidement le vin ne pourra pas quitter le chai et ne sera pas vendu.

Les agents des fraudes sont très corrects mais ils ont leur administration à plusieurs étages Tours qui reporte à Nantes qui reporte à Paris et ce long processus nous prive du feu vert pour imprimer l’étiquette.

En effet les fraude ne se sont pas encore prononcées pour savoir quelle est la qualité du vin. ( VMQA ou VMQTA ou VM….) Bref ca dure et j’endure mais on aimerais que cela débouche vite sur une conclusion constructive. Oui on a bien dit que cela débouche... Car finalement il n'y a qu'une chose importante dans le vin, qu'on le débouche.....

mercredi 21 avril 2010

Culture Raisonnée art de la dépèche.

Publié le 18/04/2010 07:59 | LaDepeche.fr

Viticulture raisonnée, objectif zéro herbicide

environnement

Le président de Somontano, Mariano Beroz, le président de l'Interprofession, Michel de Francès, et  Eric Serrano de l'Institut Français de la Vigne et du Vin Midi-Pyrénées ont signé ce  partenariat. Vigne enherbée expérimentale de l'IVF de Gaillac.
Le président de Somontano, Mariano Beroz, le président de l'Interprofession, Michel de Francès, et  Eric Serrano de l'Institut Français de la Vigne et du Vin Midi-Pyrénées ont signé ce  partenariat. Vigne enherbée expérimentale de l'IVF de Gaillac.

Après avoir soutenu les travaux du chercheur anglais Roger Corder, professeur à la Queen Mary's University de Londres, qui vantait les bienfaits des cépages du Sud-Ouest comme protecteurs des vaisseaux sanguins, l'Interprofession poursuit son programme d'études scientifique avec des travaux sur la viticulture raisonnée. Et ce, dans une politique en tout point favorable au développement durable, à la protection des exploitations viticoles et à la lutte biologique. « Dans ce programme mené par l'IFV de Gaillac, nous travaillons à l'objectif zéro herbicide » précisait Michel Defrances, Président de l'Interprofession, la grande famille viticole qui tisse sa vigne du Pays Basque à l'Aveyron.

Une stratégie portée avec force depuis 2008 par Martin Malvy, Président de Région, qui sait ô combien la filière viticole est porteuse d'emplois en Midi-Pyrénées et garante de succès économique tant sur le marché français qu'à l'exportation. Une action qui n'a pas laissé insensible les producteurs de Somontano en Espagne, qui ont bien conscience que de l'autre côté des Pyrénées, la sensibilisation à l'environnement n'a pas la même ampleur qu'en France.

L'IVF est le bras technique de l'interprofession

Pour que la filière vin du Sud-Ouest intègre toutes les contraintes environnementales dans cette lutte pour une viticulture raisonnée et durable, l'Interprofession a signé, avec les Espagnols, un partenariat avec son bras technique, l'Institut Français de la Vigne et du Vin de Midi-Pyrénées. Une structure pointue qui jouera ainsi un rôle de catalyseur pour l'ensemble des actions engagées, se félicite Michel Defrances.

Cet Institut basé à Gaillac a ainsi développé une solide expertise sur trois thématiques piliers, et ce toujours dans un discours raisonné et cartésien : le zéro herbicide, la lutte biologique, la modélisation des maladies cryptogamiques de la vigne et la diffusion des données issues de ces modèles via des outils modernes de communication comme Internet. Monsieur Éric Serrano, directeur de l'Institut, détaillait pour le premier point : « Pour atteindre le zéro herbicide, il faut trouver les semences adaptées aux différents systèmes de production des vignobles. En fonction des objectifs de production, un Fronton ne sera pas travaillé comme un Madiran. En parallèle, il faut aussi considérer, dans ce souci de protection de l'environnement, la viabilité des exploitations. » Concernant la viticulture raisonnée, Éric Serrano apporte aussi un discours de la méthode : « Par exemple pour les maladies cryptogamiques, on a des outils qui permettent de les modéliser et de les anticiper. Prenez le mildiou, grâce à des prévisions météos, on sait s'il faut ou pas qu'un viticulteur intervienne, et comment il doit le faire. »

« De la raison »

Sur la lutte biologique, le directeur de l'Institut se montre tout aussi rigoureux : « Il y a des auxiliaires des cultures, comme des acariens, qui peuvent lutter contre des nuisibles, comme les araignées rouges et jaunes. Inutile d'user de produits chimiques. Ce n'est pas de l'intégrisme, c'est de la raison ».

À travers ses propos, on comprend bien que les vignerons ont bien conscience des enjeux. C'est pourquoi, par ce programme de coopération et de recherche, l'Interprofession des vins du Sud-Ouest y contribue, rappelle Paul Fabre, son directeur.

jeudi 25 mars 2010

Bouvet Ladubay

J'espère que les problemes Indiens n'auront pas de repercussion chez Bouvet Ladubet. Voir le blog de Jim Loire.

mardi 9 mars 2010

Pharmacien

Un pharmacien à donné son avis sur le vin de façon prudente mais ambigüe dans le figaro de Lundi 8 mars.
Dommage que le Figaro publie comme parole d'évangile de telle imprécisions.
Il ne semble pas avoir entendu parler du Revesterol.
Il doute de tout et en gros conseil de s'abstenir...encore un qui doit faire rire sa femme ses enfants et ses collaborateurs toute la journée..... Bien triste le pt'it gars....

mercredi 3 mars 2010

Le Faux pinot de Sieur d'Arques de AFP LE PARISIEN

La société française Sieur d'Arques, qui a commercialisé du faux pinot aux Etats-Unis, et le courtier de la maison Ducasse ont fait appel lundi de leur condamnation pour tromperie sur la marchandise, prononcée mercredi par le tribunal correctionnel de Carcassonne.
"Suite au jugement rendu par le tribunal de Carcassonne le 17 février concernant l'affaire Pinot, le conseil d'administration des caves du Sieur d'Arques a décidé d'interjeter appel de la décision", a déclaré l'entreprise dans un communiqué.

La société Ducasse justifie son appel en qualifiant le procès d'"épisode inquisitorial au duquel nous avons été livrés en pâture à l'opinion sur le mode accusatoire avant même que nos auditions aient eu lieu".
Le tribunal correctionnel a prononcé des peines de 1 à 6 mois de prison avec sursis et des amendes -180.000 euros pour Sieur D'Arques- à l'encontre de douze prévenus et a insisté sur "le préjudice sévère pour l'image des vins de pays d'Oc".
Les prévenus, huit caves de l'Aude et de l'Hérault, le directeur du négociant Ducasse Claude Courset et un courtier, étaient poursuivis pour tromperie sur la marchandise, faux et usage de faux, et la société de commercialisation Sieur d'Arques, qui livrait le négociant américain E.&J. Gallo en bout de chaîne, pour tromperie.
La tromperie consistait à vendre du merlot et du syrah pour du pinot, presque deux fois plus cher. Elle a été découverte lors d'un contrôle de la répression des fraudes en mars 2008 à la société Ducasse à Carcassonne.
Les faux pinot pourraient avoir été destinés non seulement à E&J Gallo, mais à d'autres clients, dont le numéro un mondial du secteur Constellation Brands, propriétaire de Mondavi, selon des sources gouvernementales américaines.
Claude Courset, présenté comme "la cheville ouvrière" de l'opération, avait vendu le vin - avec l'accord de viticulteurs - à Sieur d'Arques. Il a écopé de 6 mois avec sursis et 45.000 euros d'amende.
Sa société a fait un gain de 3,7 millions d'euros grâce à la fraude. Le tribunal n'a en revanche pas prononcé la peine de prison ferme requise par le procureur Francis Battut (6 mois).
Un viticulteur indépendant à Ventenac-Cabardès, Alain Maurel, a également fait appel de la décision du tribunal.

AFP LE PARISIEN

http://www.leparisien.fr/flash-actualite-economie/faux-pinot-vendu-aux-usa-sieur-d-arques-et-le-courtier-condamnes-font-appel-22-02-2010-825327.php

*upgrade your wine thinking*


*enotria annual tasting 2010*
Monday March 8 2010

Altitude 360, London SW1

mardi 2 mars 2010

quelle tempête!!!

Nous avons eu déjà beaucoup d'arbres arrachés, de toits abimés, de hangars, etc envolés.

Cette tempête fut particulièrement longue et pénible. Les éléments se sont déchainés avec un sol trempé donc tout était fragile...

Impressionnant... mais la taille continue...

lundi 25 janvier 2010

Salon des vins de Loire

Salon des vins de Loire ....la semaine prochaine.
Vous etes attendu à Angers le 1, 2 et 3 février nous sommes Amphitea (le premier batiment) AB 7. Venez nombreux.

samedi 16 janvier 2010

Volume en GMS

Ventes annuelles de vins du Val de Loire en GMS

4 Janvier 2010

Ventes totales de vins du Val de Loire en hypers et supers du 13/10/2008 au 11/10/2009. Evolutions à un an.

Source : Iri-France pour Rayon Boissons.

Total Volume 61 millions de litres

Dont 23,6 % en rouge (- 4,1 %)

Dont 41,3 % en blancs (- 27,2 %)

Dont 35,1 % en rosés (- 5,2 %)

Total valeur 282,3 millions d’euros

Dont 26,8 % en rouge (- 0,8 %)

Dont 43,7 % en blancs (- 14,8 %)

Dont 29,5 en rosés (+ 6,9 %)


lire dans http://www.rayon-boissons.com/Vins/Ventes-annuelles-de-vins-du-Val-de-Loire-en-GMS

Volume en GMS

Ventes annuelles de vins du Val de Loire en GMS

4 Janvier 2010

Ventes totales de vins du Val de Loire en hypers et supers du 13/10/2008 au 11/10/2009. Evolutions à un an.

Source : Iri-France pour Rayon Boissons.

Total Volume 61 millions de litres

Dont 23,6 % en rouge (- 4,1 %)

Dont 41,3 % en blancs (- 27,2 %)

Dont 35,1 % en rosés (- 5,2 %)

Total valeur 282,3 millions d’euros

Dont 26,8 % en rouge (- 0,8 %)

Dont 43,7 % en blancs (- 14,8 %)

Dont 29,5 en rosés (+ 6,9 %)


http://www.rayon-boissons.com/Vins/Ventes-annuelles-de-vins-du-Val-de-Loire-en-GMS

Budget d'Interloire

Avec une enveloppe d’environ 10 millions d’euros, le budget de fonctionnement d'InterLoire demeure inchangé pour 2010. Le montant alloué à la communication, encore indéterminé à ce jour, ne devrait pas être très éloigné de 2009, à savoir 6,4 millions d’euros.

En revanche, un nouveau de calcul des cotisations va engendrer une baisse de budget global à moyen terme. Ceci résulte d’une demande insistante des négociants qui souhaitent disposer de plus de moyens pour développer leur propre marque*

*Lire dans http://www.rayon-boissons.com/Vins/Vins-10-millions-d-euros-pour-le-budget-2010-d-InterLoire

mardi 12 janvier 2010

BONNE ANNEE 2010

Le froid perdure mais on s'habitue. Les vins se clarifient naturellement. Et on avance dans la taille.
De mi novembre à mi-mars on taille, c'est difficile d'imaginer travail plus long.